Rousseau

*** Pour préparer la lecture

Conférences et colloques sur Rousseau

• La religion civile de Jean-Jacques Rousseau
• Conférence de Ghislain Waterlot (Université de Genève)
• donnée aux Charmettes, le 20 juin 2009.
• Conférence : la philosophie politique de Rousseau
• Blaise Bachofen
• Rousseau et la question de la politique:
• Intérêt individuel, intérêt particulier, intérêt général.
• La question du mal dans l'Emile de Jean Jacques Rousseau
• vidéo du site de philosophie de l'académie de Grenoble
• Cette conférence a été prononcée le mercredi 10 juin 2009 au musée des Charmettes dans le cadre d'une réunion de la régionale de Grenoble de l'APPEP (association des professeurs de philosophie de l'enseignement public) par Pierre Landou, professeur de philosophie.
• Conférence sur la philosophie des lumières : très intéressant

• Réflexions
• Le rapport à Dieu chez Montaigne et Rousseau

sujet et corrigé d'un résumé et d'une dissertation - Rousseau, Du contrat social, I, IV - L'esclavage, la guerre, l'Etat

• Par prepabac
• Le 09/03/2017
• Dans Dissertations philosophie

 

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Séquence politique, Rousseau, Machiavel, Hobbes, Diderot.....

• Par prepabac
• Le 03/08/2012
• Dans Séquences bac philosophie

Réflexions, auteurs : séquence "la politique".

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Rousseau, Discours sur le fondement de l'inégalité entre les hommes

• Par prepabac
• Le 03/08/2012
• Dans Commentaires philosophie

La solution du contrat social

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Peut-on être Homme sans être citoyen?

Nous entendons par homme le fait d’être qui désigne une existence, un être moral, une autonomie et donc une liberté, l’être humain est ici perçu comme être moral et sujet de droit bien sûr. La citoyenneté est le fait pour une personne, pour une famille ou pour un groupe, d'être reconnu comme membre d'une cité (aujourd'hui d'un Etat) nourrissant un projet commun auquel ils souhaitent prendre une part active. La citoyenneté comporte des droits civils et politiques et des devoirs civiques définissant le rôle du citoyen dans la cité et face aux institutions. Au sens juridique, c'est un principe de légitimité : un citoyen est un sujet de devoir.

Le citoyen renvoie à un législateur et à un sujet. Le peuple est souverain dans un Etat de droit, la Loi, commande à tous et la loi est l’expression de la volonté générale.  L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté selon Rousseau.  Si l’on se pose la question de savoir si l’on peut être homme sans être citoyen, le «　sans　» doit ici se comprendre comme ce dont l’absence n’enlève rien au fait d’être un homme.  L’homme  et ses droits peuvent-ils être envisagés indépendamment de ses droits de citoyens? Un homme accompli n’est-il pas à la fois un homme et un citoyen, libre et responsable en acte? Ne peut-on devenir homme qu’en étant citoyen?  Ou l’homme en tant que sujet moral n’est-il que le préambule au statut de citoyen?  Devons-nous distinguer ces deux expressions «　être homme «　 et «　être citoyen　» ou pas?

L'état de nature selon Rousseau

L’homme devance l’ordre civil

. L'homme est seul, il n'est pas naturellement porté à s'unir avec ses semblables,

Mais si l'homme primitif est asocial, il n'est pas pour autant antisocial.

l'homme naturel est un animal très bien organisé, perfectible ayant le souci de sa propre conservation.

il connaît "l'amour de soi", un égoïsme instinctif et innocent, il est doté de pitié

Passage de l'état de nature à l'état social

La vie de l’homme primitif est équilibrée, asociale mais son existence connait un déséquilibre : "C'est la nature qui subitement est devenu inhospitalière : elle a poussé les hommes a s'unir pour lutter contre les dangers ".

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• Rousseau, les annales de philosophie  : bac 2012 série S  Expliquer le texte suivant :  EXTRAIT D'ŒUVRE  On façonne les plantes par la culture, et les hommes par l'éducation. Si l'homme naissait grand et fort, sa taille et sa force lui seraient inutiles jusqu'à ce qu'il eût appris à s'en servir ; elles lui seraient préjudiciables, en empêchant les autres de songer à l'assister ; et, abandonné à lui-même, il mourrait de misère avant d'avoir connu ses besoins. On se plaint de l'état de l'enfance ; on ne voit pas que la race humaine eût péri, si l'homme n'eût commencé par être enfant.  Nous naissons faibles, nous avons besoin de force ; nous naissons dépourvus de tout, nous avons besoin d'assistance ; nous naissons stupides, nous avons besoin de jugement. Tout ce que nous n'avons pas à notre naissance et dont nous avons besoin étant grands, nous est donné par l'éducation.  Cette éducation nous vient de la nature, ou des hommes ou des choses. Le développement interne de nos facultés et de nos organes est l'éducation de la nature ; l'usage que l'on nous apprend à faire de ce développement est l'éducation des hommes ; et l'acquis de notre expérience sur les objets qui nous affectent est l'éducation des choses.  Chacun de nous est donc formé par trois sortes de maîtres. Le disciple dans lequel leurs diverses leçons se contrarient est mal élevé, et ne sera jamais d'accord avec lui-même ; celui dans lequel elles tombent toutes sur les mêmes points, et tendent aux mêmes fins, va seul à son but et vit conséquemment. Celui-là seul est bien élevé.  Émile, Rousseau
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Questionnaire bac de philosophie : De l'homme au citoyen. Apprendre à conceptualiser : 4 questionnaires de 26 questions réponses

• Par prepabac
• Le 23/08/2015
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• Dans Méthodologie philosophie

 

Séquence politique toutes séries

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A consulter :

Séquence : La politique

L'homme peut-il se sauver lui-même?

• Par prepabac
• Le 15/08/2012
• Dans Dissertations philosophie

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