Mon projet bac. Je passe l'oral en candidat libre, je fais ma liste EAF.

 

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Mon projet bac en candidat libre, l'oral EAF

Je fais ma liste : quel descritif, quels objets d'étude et combien de textes pour quelle série bac? 

 

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  • Propositions de descriptifs
  • Baccalauréat général :

 Descriptif candidat libre séries ES et S
 Descriptif candidat libre série L

  • Baccalauréat technologique

 Descriptif candidat libre BTN

 

ORAUX EAF

 

 

 

 

 

 

Aefe

Qu’attendre dans le cas d’un candidat isolé ?

 Le descriptif des lectures et activités est alors constitué par le candidat lui-même en conformité avec le programme de la classe de première. Une telle liste s’impose à l’examinateur si elle est conforme aux textes réglementaires en vigueur. En revanche, l’examinateur n’est pas lié par une liste non conforme à la réglementation. Il propose dans ce cas au candidat plusieurs œuvres et textes.

Le candidat a la possibilité de conserver sa liste de première dans son intégralité.

Que faire  si le descriptif d’un candidat  paraît insuffisant ?

L’épreuve orale concerne l’évaluation des acquis construits par le candidat lors de son parcours scolaire, et non l’évaluation du travail du professeur en charge de la classe à laquelle il appartient. En aucun cas il ne sera fait de commentaire sur la qualité supposée du descriptif.L’élève n’est aucunement responsable du contenu et de la qualité supposée du travail de l’année effectué par son professeur. Si le descriptif apparaît très insuffisant à l’examinateur, parce que, par exemple, il comporte peu de lectures ou l’absence de certains objets d’étude sans que le descriptif n’en mentionne la raison, l’examinateur signalera par écrit le fait au chef du centre d’examen.

De quels documents le candidat peut-il disposer ?

Pendant toute la durée de l’épreuve, temps de préparation inclus, le candidat dispose du descriptif et de la totalité des documents qui y  figurent, quel qu’en soit le support ou la forme.

Combien de textes doit contenir un descriptif ?

Les textes officiels ne fixent pas un nombre plancher ou maximal de lectures analytiques. Pour toutes les séries, l'étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire.

Pour l’enseignement spécifique en série L, l'étude de deux œuvres au moins et de deux groupements au moins sur une année est obligatoire.

Les extraits qui constituent les groupements de textes ne font pas obligatoirement l'objet d'une lecture analytique. Certains extraits peuvent faire l’objet d’une lecture cursive, d’une lecture comparative, etc., tandis que d’autres sont étudiés en lecture analytique.

L’objectif du professeur n’est pas de parvenir à un nombre déterminé de lectures analytiques, mais d’ouvrir l’éventail des lectures et des approches artistiques, pour faire ressortir les liens entre les œuvres et leur originalité, et pour stimuler le désir de lire et de se cultiver chez l’élève.

Si l’objectif n’est donc pas quantitatif mais substantiel, il apparaît cependant que pour pouvoir juger avec équité l’ensemble des candidats, le descriptif doit faire figurer un nombre raisonnable de lectures analytiques.

Puis-je interroger le candidat sur les lectures cursives ?

Le texte officiel est bien clair :en aucun cas le candidat n'est interrogé, pendant la 1ère  partie de l'épreuve, sur les lectures cursives. L'extrait sur lequel est posée la question pour l’exposé est tiré d'un des groupements de textes ou d'une des œuvres intégrales étudiées en lecture analytique figurant sur le descriptif des lectures et activités.

èNB : Il appartient au professeur de bien distinguer dans son descriptif les lectures analytiques et les lectures cursives, et à l’examinateur de vérifier qu’il n’interroge pas sur une lecture cursive.

La partie « Entretien » de l’épreuve est le cadre pour interroger les candidats sur les lectures cursives, les activités personnelles et collectives, ainsi que les liens et échos entre tous les textes et documents de la séquence.

Quelle question poser ?

L’examinateur a toute liberté pour juger des questions à poser une fois qu’il a pris connaissance des descriptifs. Il convient surtout de ne pas déstabiliser le candidat et donc de veiller à formuler des questions simples et claires en cohérence avec les intitulés des séquences ou les problématiques qui figurent sur le descriptif.

Puis-je interroger pour une œuvre intégrale sur n’importe quel passage de l’œuvre ?

Un passage tiré d’une œuvre intégrale qui n’aurait pas fait explicitement l’objet d’une lecture analytique peut être proposé.  Il faut cependant garder à l’esprit qu’il s’agit là pour bien des élèves d’une difficulté supplémentaire et parfois insurmontable. Il convient donc d’en tenir le plus grand compte dans l’évaluation de la prestation.

Quelle est la longueur de l’extrait retenu pour l’exposé?

La longueur du texte ou de l'extrait à étudier ne peut être fixée dans l'absolu. Elle dépend en fait de la question posée et des éléments de réponse à rechercher dans le texte. On s'en tiendra donc à une limite inférieure (une demi-page, ou moins dans le cas d'une forme poétique brève, etc.) et à une limite supérieure (une page et demie, éventuellement deux pages pour un texte théâtral).Les professeurs doivent veiller durant l’année à ne pas proposer de textes d’une ampleur telle qu’ils ne peuvent que mettre l’élève en difficulté le jour de l’oral, lors de la première partie de l’épreuve.

Le candidat doit-il lire tout le texte ?

On peut demander au candidat de n’en lire qu’une partie, tout particulièrement quand l’extrait touche à la limite supérieure. Il s’agit uniquement de vérifier la capacité du candidat à lire à haute voix un texte littéraire qu’il a étudié. Toute lecture expressive qui fait entendre un projet de lecture pertinent doit être valorisée dans l’évaluation.

Lorsqu’il s’agit d’un texte théâtral, le candidat doit-il lire les noms des personnages ainsi que les autres didascalies?

Les Instructions Officielles ne sont pas prescriptives en la matière ; on laissera donc le choix au candidat.

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A PROPOS DU DESCRIPTIF DES LECTURES ET ACTIVITES

Les modalités actuelles de l’épreuve anticipée de français imposent qu’une grande attention soit portée à l’élaboration

du descriptif : il s’agit qu’il informe avec précision, concision et clarté sur les travaux de la classe. L’examinateur doit

en effet pouvoir mettre le candidat en situation d’exploiter ce qu’il a fait en classe tout en appréciant la marge

d’autonomie qu’il sollicite, afin d’évaluer chacun avec équité.

Cette équité n’est accessible, dans les conditions qui sont celles de l’examen, que si le descriptif apporte des

informations suffisantes et est d’une lecture aisée. C’est en pensant à l’examinateur auquel il s’adresse que chaque

professeur doit mettre en forme ce lien entre la préparation en classe et la passation un jour d’examen. Quant au

candidat, il sait que c’est à partir des indications qui y figurent qu’il sera interrogé. Pour qu’il se l’approprie plus

facilement, il y a tout à gagner à l’élaborer progressivement, au cours de l’année, dans un travail concerté avec la classe.

LA PRESENTATION DU DESCRIPTIF

Le descriptif indique clairement, en tête, l’établissement, la section et la classe ; il présente dans l’ordre les séquences

conduites dans l’année. Il est signé par le professeur et visé par le chef d’établissement.

Une maquette est proposée, ci-joint. D’autres formules peuvent être préférées, pourvu que tous les éléments attendus y

figurent, apportant à l’examinateur les informations nécessaires sur le travail réalisé par le candidat pendant son année

de première.

Il apparaît toutefois que la présentation tabulaire permet la lecture la plus rapide et la plus efficace. Sur le site

académique, on trouvera cette maquette en version directement exploitable et adaptable.

On recommandera que le descriptif reste, autant que faire se peut, dans les limites d’une demi-page par

séquence. Pour bien faire, il faudrait que l’ensemble soit consultable en un « quatre pages » A4 x 4, format paysage.

LES INFORMATIONS NECESSAIRES

Réglementairement, le descriptif précise pour chaque séquence :

· le titre et la problématique : ce qui oriente le projet d’étude, ce qui donne sens à l’ensemble des travaux

conduits dans l’oeuvre ou le groupement. Le titre, souvent lapidaire, ne suffit pas à instruire suffisamment

l’examinateur sur le parcours choisi. Donner des précisions sur ce qui a été étudié dans chaque texte aboutirait

à un document inexploitable par excès d’informations. L’examinateur a surtout besoin de comprendre la

démarche globale suivie : l’étude d’une oeuvre ou d’un groupement impose en effet des choix qu’il importe de

lui communiquer pour qu’il interroge un élève en toute connaissance de cause.

· Le ou les objet(s) d’étude : le nombre de séquences ne dépend pas nécessairement du nombre d’objets

d’étude ; on peut aborder plusieurs objets d’étude dans une séquence et aborder un même objet d’étude dans

plusieurs séquences.

· Les textes ayant fait l’objet de lectures analytiques (extraits et oeuvres intégrales, en précisant également

pour ces dernières les études d’ensemble), ou de lectures cursives. Selon l’exploitation qui en a été faite en

classe, les textes ou les corpus qui ont fait l’objet de devoirs écrits pourront trouver place dans l’une ou l’autre

partie du descriptif destiné à l’interrogation orale.

· Le cas échéant, quelques indications sur les activités complémentaires – en particulier orales- proposées à la

classe et sur le travail personnel de l’élève.

Il importe également que figurent des repères précis concernant les textes analysés en classe dans le cadre des

oeuvres ou des groupements : les passages étudiés y seront nettement délimités et les pages indiquées, afin de

permettre à l’examinateur de préparer des questions, notamment en ce qui concerne les oeuvres intégrales dont

aucune photocopie ne sera envoyée au préalable. Le manuel et les éditions utilisés seront clairement identifiés

Source

 

Skype coaching scolaire

Date de dernière mise à jour : 28/04/2021

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