Article Fanatisme, dictionnaire philosophique, Voltaire

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Article « Fanatisme », Voltaire, Dictionnaire philosophique portatif, 1764

« Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un fanatique novice qui donne de grandes espérances; il pourra bientôt tuer pour l'amour de Dieu.
Barthélemy Diaz fut un fanatique profès. Il avait à Nuremberg un frère, Jean Diaz, qui n'était encore qu'enthousiaste luthérien, vivement convaincu que le pape est l'antechrist, ayant le signe de la bête. Barthélemy, encore plus vivement persuadé que le pape est Dieu en terre, part de Rome pour aller convertir ou tuer son frère: il l'assassine; voilà du parfait: et nous avons ailleurs rendu justice à ce Diaz.
Polyeucte, qui va au temple, dans un jour de solennité, renverser et casser les statues et les ornements, est un fanatique moins horrible que Diaz, mais non moins sot. Les assassins du duc François de Guise, de Guillaume prince d'Orange, du roi Henri III, du roi Henri IV, et de tant d'autres, étaient des énergumènes malades de la même rage que Diaz.
Le plus grand exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n'allaient point à la messe. Guyon, Patouillet, Chaudon, Nonotte, l'ex-jésuite Paulian, ne sont que des fanatiques du coin de la rue, des misérables à qui on ne prend pas garde: mais un jour de Saint-Barthélemy ils feraient de grandes choses.
Il y a des fanatiques de sang-froid: ce sont les juges qui condamnent à la mort ceux qui n'ont d'autre crime que de ne pas penser comme eux; et ces juges-là sont d'autant plus coupables, d'autant plus dignes de l'exécration du genre humain, que, n'étant pas dans un accès de fureur comme les Clément, les Chastel, les Ravaillac, les Damiens, il semble qu'ils pourraient écouter la raison.
Il n'est d'autre remède à cette maladie épidémique que l'esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car dés que ce mal fait des progrès, il faut fuir et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent, pas contre la peste des âmes; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison dans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l'esprit l'exemple d'Aod qui assassine le roi Églon; de Judith qui coupe la tête d'Holopherne en couchant avec lui; de Samuel qui hache en morceaux le roi Agag; du prêtre Joad qui assassine sa reine à la porte aux chevaux, etc., etc., etc. Ils ne voient pas que ces exemples, qui sont respectables dans l'antiquité, sont abominables dans le temps présent: ils puisent leurs fureurs dans la religion même qui les condamne.
Les lois sont encore très impuissantes contre ces accès de rage: c'est comme si vous lisiez un arrêt du conseil à un frénétique. Ces gens-là sont persuadés que l'esprit saint qui les pénètre est au-dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu'ils doivent entendre.
Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes, et qui en conséquence est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant?
Lorsqu'une fois le fanatisme a gangrené un cerveau, la maladie est presque incurable. J'ai vu des convulsionnaires qui, en parlant des miracles de saint Pâris, s'échauffaient par degrés parmi eux: leurs yeux s'enflammaient, tout leur corps tremblait, la fureur défigurait leur visage, et ils auraient tué quiconque les eût contredits.
Oui, je les ai vus ces convulsionnaires, je les ai vus tendre leurs membres et écumer. Ils criaient: « Il faut du sang ». Ils sont parvenus à faire assassiner leur roi par un laquais, et ils ont fini par ne crier que contre les philosophes.
Ce sont presque toujours les fripons qui conduisent les fanatiques, et qui mettent le poignard entre leurs mains; ils ressemblent à ce Vieux de la montagne qui faisait, dit-on, goûter les joies du paradis à des imbéciles, et qui leur promettait une éternité de ces plaisirs dont il leur avait donné un avant-goût, à condition qu'ils iraient assassiner tous ceux qu'il leur nommerait. Il n'y a eu qu'une seule religion dans le monde qui n'ait pas été souillée par le fanatisme, c'est celle des lettrés de la Chine. Les sectes des philosophes étaient non seulement exemptes de cette peste, mais elles en étaient le remède; car l'effet de la philosophie est de rendre l'âme tranquille, et le fanatisme est incompatible avec la tranquillité. Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale, c'est à la folie des hommes qu'il faut s'en prendre. »


Recherches préliminaires
1-Biographie de l’auteur(voir début de la lecture analytique)
2-Contexte historique et littéraire (voir début de la lecture analytique)
3-Mouvement littéraire : Les Lumières (p.26-27, Empreintes littéraires 1ère technologique, Magnard)
1-A quel siècle appartient ce mouvement ? C’est un mouvement européen du XVIIIème
2-Quel est le philosophe du XVIIème qui est à l’origine de ce mouvement, défendant quel principe ?
Il s’agit de Descartes qui place la raison individuelle au centre de son système de pensée.
3-Que signifie la métaphore des Lumières ?
Elle désigne la raison, les connaissances scientifiques et culturelles qui viennent éclairer le monde en chassant l’obscurantisme, l’inégalité sociale, l’esclavage et la torture. Ces principes inspirent la rédaction de la « Déclaration de l’homme et du citoyen » de 1789.
4-Quels sont les idéaux des Lumières ?
Liberté, égalité, fraternité, bonheur.
5-Quelle œuvre majeure du XVIIIème siècle est caractéristique de ce mouvement littéraire ?
Il s’agit de l’Encyclopédie qui est un outil de connaissance et une arme politique (17 volumes et 250 collaborateurs).
6-Citer quelques personnages célèbres appartenant à ce courant ?
Les philosophes : Rousseau, Montesquieu, Diderot, Voltaire
Et Mozart qui dans ses opéras donnent une notion du bonheur par la joie qu’ils véhiculent.
4-Genre du texte : article tiré de son Dictionnaire philosophique portatif qu’on peut considérer comme un pamphlet (Définition du TLF=Court écrit satirique, souvent politique, d'un ton violent, qui défend une cause, se moque, critique ou calomnie quelqu'un ou quelque chose.)

Introduction

1) Situation

C’est à Ferney que François Marie Arouet passe les 18 dernières années de sa vie, recevant des visiteurs venant de toute l’Europe, gardant un contact suivi avec des correspondants illustres. Dans cette petite propriété située à la frontière franco-suisse, Voltaire mène des combats. D’abord contre l’injustice. En 1763, il lutte pour réhabiliter le protestant Jean Calas, mort pendu, accusé d’infanticide lors d’un procès retentissant où le fanatisme religieux se substitua à la justice. Il publie son Traité sur la Tolérance dans ce but.
2)Présentation du texte (genre et thème principal) :
En même temps, reprochant à L’Encyclopédie son excessive prudence, il se lance dans la rédaction de son Dictionnaire Philosophique Portatif, œuvre de combat, véhémente et militante, qu’il veut plus directement efficace pour diffuser l’esprit des Lumières. Sa vocation : « Ecraser l’infâme ». Contre la Bible et la religion chrétienne, il condamne le fanatisme religieux dans un registre polémique (vient du grec « polemos » qui signifie « guerre »).

3)Problématique : Comment Voltaire dénonce-t-il le fanatisme religieux en le comparant à une maladie et en en proposant un remède ?

4)Annonce du plan
I-Un article de dictionnaire où la polémique remplace la didactique
II-Un texte argumentatif écrit pour convaincre et persuader
III-L’objet de la critique et des remèdes

DEVELOPPEMENT

I) Un article de dictionnaire où la polémique remplace la didactique
D’après Diderot qui dirige l’Encyclopédie, grand ouvrage des Lumières, le caractère d’un bon dictionnaire est de « changer la façon commune de penser. » Voltaire se situe bien dans cette mouvance à travers cet article.
1) La définition du fanatisme
Il n’y a pas de véritable définition du terme fanatisme en termes simples et neutres : « le fanatisme est… ». Au début du texte, c’est plutôt une définition « en creux « bâtie sur une série d’analogies visant à faire décrédibiliser le terme : « le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. »Ainsi, le fanatisme est le degré supérieur à la superstition. Le parallélisme de construction permet de mieux retenir cette définition imagée. La superstition, pour Voltaire, s’oppose à l’esprit éclairé et rationnel, le superstitieux ne peut être ouvert à la vérité car il croit sans penser par lui-même. D’emblée, le fanatisme est associé à une notion critiquée. Ainsi, la définition est remplacée par un jugement de valeur.
Dans la suite du texte, la définition est remplacée par la description du fanatique : « Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties. » , « des convulsionnaires qui … s’échauffaient par degrés… »

Le fanatique est donc bien un fou qui confond imagination et réalité.
De même, la définition est éludée au profit de nombreux exemples de fanatiques célèbres, historiques ou légendaires comme Barthélémy Diaz ou Polyeucte…

2) la présence de Voltaire qui manifeste sa subjectivité
•Exemple personnel, présence directe : « J’ai vu » •Vocabulaire subjectif : l.9 « un fanatique moins horrible, mais non moins sot »
L 11 : « des énergumènes malades de la même rage que Diaz » •vocabulaire hyperbolique et énumération : l16 : « coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces… » « fripon » « poison »
… On est bien dans le jugement de valeur, dans le pamphlet et la satire.
3) la métaphore filée de la maladie
· champ lexical de la maladie tout au long du texte
Analogie posée d’emblée : fanatisme/ transport ; superstition/ fièvre (l.1)
Sa gravité : maladie incurable : gangrène, maladie épidémique, peste (§6, l.20 et suivante).
→Le fanatique : un fou furieux ( rage (2fois), folie, fureur, frénétique ( : délire provoqué par une affection cérébrale) : un monomane* (=folie caractérisée par une préoccupation unique) guidé par une idée fixe.
Le siège de la maladie : le cerveau, l’esprit : lorsqu’une fois le fanatisme a gangrené le cerveau,la maladie est presqu’incurable (l.33)
→ Le fanatique est un impulsif qui ne fait plus preuve de réflexion, se laisse emporter par son obsession. Le corps l’emporte sur l’esprit : description des convulsionnaires.
→Le fanatique est influençable : maladie épidémique, il exécute un mot d’ordre sans discuter. (cf ex des bourgeois de Paris). N’est pas convaincu rationnellement de la validité de sa cause, il a foi en une révélation. Sa certitude relève de la croyance, non de la raison. (l’esprit saint qui les pénètre, obéir à Dieu )

Transition : Pour définir le fanatisme, Voltaire utilise sa plume la plus acérée, c’est bien un véritable pamphlet au contenu subversif qu’il rédige ici contre le fanatisme religieux. Néanmoins, il n’agit pas lui-même en fanatique, son texte est ordonné et construit, il veut à la fois convaincre et persuader.
II) UN TEXTE ARGUMENTATIF ECRIT POUR CONVAINCRE ET PERSUADER
1) Un texte qui veut d’abord convaincre :
· Structure en paragraphes :

Mouvement du texte(pour information): En deux parties, chacune structurée en paragraphes :
1) Ce qu’est le fanatisme (paragraphes 1 à 5)
a) fanatisme et enthousiasme : par 1 à 3
b) le fanatisme de sang froid : par 5
c) les manifestations du fanatisme : par 5
2) Les remèdes (paragraphes 6 à 11)
a) insuffisance de la religion
b) impuissance des lois
c) l’exemple des lettrés de Chine (§11)

· Connecteurs logiques (adverbes, conjonction de coordination ou de subordination, parfois même des interjections). Nous observons dans le texte des connecteurs logiques qui introduisent la conséquence (en conséquence, l.31), la comparaison (« comme si » ou « plus…que ») , l’opposition (« mais »), l’hypothèse (« à condition que »).
· Exemples concrets et historiques
· Une forme concise : plus la forme est courte, plus on cherche l’efficacité du style.
2) Un texte qui veut aussi persuader :
Ø Ironie « qui la tua en effet pour l’amour de Dieu »
Ø Oxymore « assassiner saintement »
Ø Images (métaphore de la maladie)
Ø Vocabulaire hyperbolique dignes de l’exécration du genre humain : par l’emphase, il discrédite totalement les fanatiques et les ridiculise.
Ø Comique de geste : « convulsionnaires », il donne le détail de leurs gestes, exagère chacune de leurs attitudes, il veut sinon faire naître le rire, au moins terrasser ses adversaires.
III) L’OBJET DE LA CRITIQUE ET LES REMEDES

1) La critique de la religion

Origine du mot fanatisme :Le fanatisme est essentiellement d’origine religieuse : étymologiquement, fanatisme vient du latin fanaticus, qui provient lui-même de fanum : le temple. Fanaticus signifie « ce qui concerne le temple » puis prend le sens d’ « inspiré », « en délire », à propos des prêtres de Cybèle qui se livraient à des manifestations violentes au cours du culte rendu à la déesse. D’où le sens du mot « fanatique » : qui se croit inspiré par la divinité, « illuminé. » Notons que le terme « fan » (anglicisme), vient de l’anglais « fanatic » et se traduit en français par « fanatique ». Le fait d’idôlatrer quelqu’un est donc une forme de fanatisme, même s’il n’y a pas le sens religieux qu’on retrouve dans l’étymologie latine « qui vient du temple. »
La religion, loin d’être un remède, agit comme un poison (l.23 : la religion se tourne en poison dans les cerveaux infectés).
Les exemples du § 6 ont un traitement ironique : il évoque des personnages bibliques, célèbres pour leur héroïsme, leur sens du sacrifice ; mais les présente comme des héros de faits divers sanglants. Aod : un assassin (qui commet un meurtre avec préméditation), Judith : une prostituée, Samuel : un boucher. Voltaire insiste sur le vocabulaire de la cruauté (assassine, coupe la tête, hache en morceaux) de la trivialité (en couchant avec). Il présente l’histoire de la religion comme une succession d’actes de fanatisme.
« Ils puisent leurs fureurs dans la religion même qui les condamne » : Voltaire relève ici un paradoxe au regard de la religion chrétienne. Il est contraire à l’enseignement de la Bible («Tu ne tueras point », un des dix commandements).

2) La critique des lois (inefficaces pour combattre ce mal) et de l’intolérance
· Pour Voltaire, les lois sont inefficaces pour lutter contre le fanatisme. Cf champs lexicaux : opposition vocabulaire juridique ( un arrêt du conseil, la seule loi, obéir aux hommes) et vocabulaire religieux associé à celui de la maladie ( accès de rage, un frénétiqu, l’esprit saint, enthousiasme)
L.30 : Enthousiasme : étym. Intuition de l’existence de Dieu, transport divin, de « en » : dans et « theos » : Dieu. Le fanatisme est donc une aggravation de la superstition, de l’enthousiasme.
Enfin, Voltaire dénonce l’excès de religion pour la société : (ex de Barthélemy Diaz, explorateur portugais qui découvrit le cap de Bonne espérance et commit, au nom de la religion un fratricide).
Contre ces excès, les lois sont inefficaces. •L’intolérance engendre des conséquences démesurées : « Le plus grand exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, la nuit de la Saint-Barthélemy, leurs concitoyens qui n’allaient point à la messe. » La violence est donc causée par l’intolérance envers ceux qui ne souhaitent pas aller à la messe. On remarque que dans la classification qu’établit Voltaire des fanatiques, tous sont reliés par l’intolérance, c’est le cas pour « les fanatiques de sang froid », c'est-à-dire, les juges : « qui condamnent à la mort ceux qui n’ont d’autre crime que de ne pas penser comme eux. »
3) Le seul remède efficace : l’esprit philosophique
Un remède préventif : la philosophie (celle des lettrés de la Chine par exemple, l.43).Voltaire ne définit pas vraiment l’esprit philosophique si ce n’est par opposition à celui de la religion. Le philosophe est l’opposé du fou, « Eclairé », il est le contraire de l’illuminé qu’est le fanatique. Il est réfléchi, recherche la sagesse.Il milite pour une nouvelle aristocratie ou oligarchie qui confierait le pouvoir « aux philosophes » (« secte des philosophes » à noter l’autodérision participant de l’ironie voltairienne) ou « aux lettrés de Chine », ces religieux qui, du fait de leur grande culture et leur grande sagesse ne peuvent plus basculer dans le fanatisme. C’est là que Voltaire introduit le mot « remède », qui répond aux premières étapes de la métaphore filée (religion = poison).
Le fanatique espère trouver le bonheur dans l’autre monde, comme le fait comprendre la comparaison avec le Vieux sage de la montagne. Mais leur acte est vain, car seul l’esprit apaisé peut prétendre au bonheur. Le philosophe, lui, cherche « la tranquillité qui apaise l’âme » et donc peut parvenir au bonheur.
En matière religieuse, le philosophe s’insurge contre les préjugés, les superstitions, il rejette le sectarisme et l’intolérance au nom du Déisme (définition : Le déisme, du latin deus (dieu), est une croyance ou une doctrine qui affirme l'existence d'un Dieu[] et son influence dans la création de l'Univers, sans pour autant s'appuyer sur des textes sacrés ou dépendre d'une religion révélée. Pour la pensée déiste, certaines caractéristiques de Dieu peuvent être comprises par les facultés intellectuelles de l'homme.)

CONCLUSION
A)Bilan du texte : Ce pamphlet met en garde contre les dangers du fanatisme religieux qu’il définit et dont il tente de montrer les dérives. Pour Voltaire, le fanatisme est une maladie dangereuse qui avilit l’individu et affecte tout le corps social.
B)Réponse à la question posée par l’examinateur
C) Ouverture, prolongement : La lutte contre le fanatisme était très présente au XVIIIème siècle où les croyances étaient encore plus fortes en Europe qu’aujourd’hui, mais cette question reste d’actualité avec le terrorisme et le fanatisme qu’engendre la religion. Songeons aux attentats liés à la question du territoire et des croyances entre les Israéliens et Palestiniens. L’Attentat de Yasmina Khadra en fait la description désolante en mettant en scène une femme, qui pour des questions idéologiques, meurt au combat lors d’un attentat suicide.

http://bouley.christelle.over-blog.fr/categorie-12474674.html
Christelle Bouley

BAC

Pour aller plus loin : consultez les documents du site 

Date de dernière mise à jour : 09/10/2019

Commentaires

  • scrogneugneu
    • 1. scrogneugneu Le 25/01/2016
    mèrci bcp c geniale !!!!! Pour le baq sa va bcp m'éder
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