La découverte du Voreux,Germinal

ORAUX EAF

 

Naturalisme de Zola : réalités, symboles et critique sociale

 

Objet d'étude

 « Le roman et la nouvelle au XIXe siècle : réalisme et naturalisme »

Problématique et objectifs

A travers des textes représentatifs de l'écriture naturaliste du romancier, il s'agit d'étudier comment l'écrivain opère la transfiguration d'une réalité particulière en symboles, le plus souvent porteurs d'une critique sociale. critique de la société corrompue du second Empire.

 

 Questions sur Zola :

 

  • Qui est Zola?

Émile Zola est un écrivain et journaliste français

  • Quelles sont ses dates?

né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902

  • De quel courant littéraire est-il le représentant?

Considéré comme le chef de file du naturalisme, c’est l'un des romanciers français les plus

  • Citez trois de ses œuvres

Germinal, Nana, L’Assommoir

  • Quelle est son œuvre majeure? Que pouvez-vous en dire?

Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire et qui met en scène la trajectoire de la famille des Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants d'une époque et d'une génération particulière fait l'objet d'un roman.

  • Quel engagement a marqué la fin de sa vie?

Les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J'accuse » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres dans la même année.

 

Ce qu’il faut savoir :

 

Émile Zola (1840-1902)

D'abord journaliste (donc familier des enquêtes de terrain et des techniques de documentation journalistiques).

Premier roman : Thérèse Raquin (1867), 1er succès : L’Assommoir (1877), son plus grand triomphe : Germinal (1885).

Chef de file du Naturalisme que l'on définira en introduction comme un prolongement du réalisme adossé à des théories scientifiques.

Écrivain engagé (notamment en faveur des idéaux du socialisme). Voir aussi la défense du capitaine Dreyfus, injustement accusé de trahison, avec l'article « J'accuse » (1898).

 
 

Questions sur le naturalisme:

Recherches :

 

  • Donnez une définition du naturalisme
  • Donnez une définition du réalisme
  • Justifiez votre analyse en proposant des exemples d’œuvres littéraires pour les deux genres

 

Expliquez la notion d'hérédité et de déterminisme de milieu, déterminisme social

Déterminisme:

tout phénomène dépend d'un ensemble de conditions antérieures: les mêmes causes produisent les mêmes effets. On peut prévoir les effets.

Ex:

Un fils d'ouvrier sera fatalement ouvrier

Hérédité:

prédisposition

  • Avons-nous un héros ordinaire dans Germinal par exemple?

Oui; Un héros issu de la classe ouvrière.

Les réalistes et naturalistes présentent toujours des héros ordinaires.

  • Le naturalisme a t'-il représenté une école littéraire?

Oui, avec les frères Goncourt et Zola, Thérèse Raquin puis les Rougon Macquart

  • Quels sont les genres réalistes et naturalistes?

Ex: Zola; Rougon Macquart. Zola raconte les épopées familiales empreintes de social et d'histoire.

  • A quel mouvement littéraire s'oppose t'-il?

Au romantisme car il éloigne de la réalité. Ex: Flaubert, Mme Bovary

  • Quelle est la source d'inspiration des naturalistes et réalistes?

La vie réelle

  • Le descriptif a t'-il de l'importance?

Oui car il permet de décrire la réalité. Un roman naturaliste ou réaliste n'est pas esthétique. Il se contente de décrire et de rendre compte de la réalité.

 

 

 Les Rougon-Macquart

Cycle romanesque de Zola (20 romans) qui rappelle l'ambition de la Comédie humaine de Balzac.

Histoire d'une famille sur plusieurs générations pendant le second Empire. Famille frappée par une tare héréditaire.

Arbre généalogique (cerclés de jaune : les personnages et les œuvres étudiées dans la séquence)

 

Arbre généalogique des Rougon Macquart

La découverte du « Voreux » (Germinal (1885), Émile Zola )

 

Dans son œuvre Germinal, Zola décrit les conditions effroyables dans lesquelles travaillent les ouvriers dans les mines à la fin du XIXe siècle. L'extrait proposé met en scène Étienne Lantier, ouvrier sans ressources, qui découvre  le « Voreux », le plus grand puits de la mine qui deviendra son lieu de travail.

 

La découverte du « Voreux » (lecture analytique)

 

Objectifs

: Il s'agit de montrer que la description réaliste, en se transformant en vision monstrueuse et épique, se charge d'une dimension symbolique et critique.

réalisme dépassé par l'imaginaire zolien (vision monstrueuse et épique de la mine) et la visée symbolique (le « Voreux » : symbole du Capital qui exploite les ouvriers) et critique (dénonciation de la condition ouvrière et du système capitaliste).

 

En quoi cette description dépasse-t-elle le simple réalisme ?

 

 

Alors, l’homme reconnut une fosse. Il fut repris de honte : à quoi bon ? il n’y aurait pas de travail. Au lieu de se diriger vers les bâtiments, il se risqua enfin à gravir le terri sur lequel brûlaient les trois feux de houille, dans des corbeilles de fonte, pour éclairer et réchauffer la besogne. Les ouvriers de la coupe à terre avaient dû travailler tard, on sortait encore les déblais inutiles. Maintenant, il entendait les moulineurs pousser les trains sur les tréteaux, il distinguait des ombres vivantes culbutant les berlines, près de chaque feu.
« Bonjour », dit-il en s’approchant d’une des corbeilles.
Tournant le dos au brasier, le charretier était debout, un vieillard vêtu d’un tricot de laine violette, coiffé d’une casquette en poil de lapin9 ; pendant que son cheval, un gros cheval jaune, attendait, dans une immobilité de pierre, qu’on eût vidé les six berlines montées par lui. Le manœuvre employé au culbuteur, un gaillard roux et efflanqué, ne se pressait guère, pesait sur le levier d’une main endormie. Et, là-haut, le vent redoublait, une bise glaciale, dont les grandes haleines régulières passaient comme des coups de faux.
« Bonjour », répondit le vieux.
Un silence se fit. L'homme, qui se sentait regardé d’un œil méfiant, dit son nom tout de suite.
« Je me nomme Étienne Lantier, je suis machineur... Il n’y a pas de travail ici ? »
Les flammes l’éclairaient, il devait avoir vingt et un ans, très brun, joli homme, l’air fort malgré ses membres menus.
Rassuré, le charretier hochait la tête.
« Du travail pour un machineur, non, non... Il s’en est encore présenté deux hier. Il n’y a rien. »
Une rafale leur coupa la parole. Puis, Étienne demanda, en montrant le tas sombre des constructions, au pied du terri :
« C'est une fosse, n’est-ce pas ? »
Le vieux, cette fois, ne put répondre. Un violent accès de toux l’étranglait. Enfin, il cracha, et son crachat, sur le sol empourpré, laissa une tache noire10.
« Oui, une fosse, le Voreux... Tenez ! le coron est tout près. »
À son tour, de son bras tendu, il désignait dans la nuit le village dont le jeune homme avait deviné les toitures. Mais les six berlines étaient vides, il les suivit sans un claquement de fouet, les jambes raidies par des rhumatismes ; tandis que le gros cheval jaune repartait tout seul, tirait pesamment entre les rails, sous une nouvelle bourrasque, qui lui hérissait le poil.
Le Voreux, à présent, sortait du rêve. Étienne, qui s’oubliait devant le brasier à chauffer ses pauvres mains saignantes, regardait, retrouvait chaque partie de la fosse, le hangar goudronné du criblage, le beffroi du puits, la vaste chambre de la machine d’extraction, la tourelle carrée de la pompe d’épuisement. Cette fosse, tassée au fond d’un creux, avec ses constructions trapues de briques, dressant sa cheminée comme une corne menaçante, lui semblait avoir un air mauvais de bête goulue, accroupie là pour manger le monde. Tout en l’examinant, il songeait à lui, à son existence de vagabond, depuis huit jours qu’il cherchait une place ; il se revoyait dans son atelier du chemin de fer, giflant son chef, chassé de Lille, chassé de partout ; le samedi, il était arrivé à Marchiennes, où l’on disait qu’il y avait du travail, aux Forges ; et rien, ni aux Forges, ni chez Sonneville, il avait dû passer le dimanche caché sous les bois d'un chantier de charronnage11, dont le surveillant venait de l’expulser, à deux heures de la nuit. Rien, plus un sou, pas même une croûte : qu’allait-il faire ainsi par les chemins, sans but, ne sachant seulement où s’abriter contre la bise ? Oui, c’était bien une fosse, les rares lanternes éclairaient le carreau, une porte brusquement ouverte lui avait permis d’entrevoir les foyers des générateurs, dans une clarté vive. Il s’expliquait jusqu’à l’échappement de la pompe, cette respiration grosse et longue, soufflant sans relâche, qui était comme l’haleine engorgée du monstre.
 

LA DECOUVERTE DU VOREUX GERMINAL

 

Notes introductives :

1 -

Où se situe ce roman dans la série des Rougon-Macquart?

C’est le treizième roman

2 -

A quelle époque l’action se situe t’-elle?
Une famille pendant le second empire 1852 -1870

3 -

Peut-on parler d’une fresque dans une fresque?
C'est le plus intéressant car germinal est une fresque dans la fresque.

4 -

Quand Zola commence t’-il Germinal?

Le 2 avril 1884

5 -

Quand Zola le publie t’-il?

En 1885

6 -

Que pouvez-vous dire du titre?

GERMINAL : mois de mars dans le calendrier républicain dans l'explicite de germinal il y a une image de la révolution (germination de la révolution, révolution française).

7 -

Comment Etienne est-il décrit?

Par son hérédité

8 -

Est-ce le personnage principal?

Catherine devait être le personnage principal mais ensuite Zola  choisit Étienne qui devait être le maniaque de l'assassinat. Il change ce portrait en se rendant compte que les grévistes sont calmes.

9 -

Que veut décrire Zola?

Le naturalisme s'ancre dans le réalisme : tentative de décrire scientifiquement la réalité sociale

Différence avec le réalisme

L'accent  est mis  sur l'hérédité. C’est un roman expérimental.

Problématique :

Dans quelle mesure cet extrait est conforme aux thèses de Zola sur le naturalisme ?

Plan possible pour un commentaire :

I-Une description focalisée

1- Le mystère

2- La perception
3- Le réel

II- Un personnage complet

1- Un corps
2- Une voix
3- Une fonction

III- Du lieu au symbole

1- La machine
2- Le monstre
3- Le héros

Questionnaire en fonction des axes du plan :

I-

Une description focalisée

1-

Le mystère

1 -

Pourquoi Zola propose t’-il une description focalisée?

Pour que le lecteur se représente et comprenne ce qui se passe dans la mine  Zola propose une description focalisée pour ne pas ennuyer le lecteur

2 -

Quel est le mystère?

Le mystère est l'état dans lequel est le lecteur quand Étienne entre dans la mine  :  L’homme au milieu de l’extrait, il sera nommé mais avant on ne sait pas qui il est.

3 -

Que traduit le discours indirect libre?

Discours indirect libre, il montre que le narrateur connait le personnage mais il cache des informations au lecteur et ne  les montre que lorsque le personnage est près à les dire

4 -

De quelle nature la focalisation est-elle?

Focalisation omnisciente : on a une tension entre la focalisation externe et omnisciente

5 -

Y a t’-il une identification du lecteur?

Les perceptions sont à l'imparfait  :  on le ressent en même temps que le personnage --> identification du lecteur

Le lecteur voit à travers Étienne ce que pense Bonnemort  : cela contribue au mystère car il n'a jamais été à la mine

6 -

Relevez la dimension cosmique de la scène

La dimension cosmique de la scène  :  "ténèbres, Nuit, Vent" comparaisons "comme des coups de faux"

I-

Une description focalisée

2-

La perception

1 -

Comment découvre t’-on la mine?

On voit la mine avec les yeux détienne et l'ensemble de ses sens. C'est sa perception qui nous initie à ce monde étrange, à ce milieu.

2 -

Comment Zola a t’-il découvert ce milieu qu’est la mine et le monde des ouvriers?

Zola le connait car il a fait des recherches, enquêtes :  on a dans ce texte tout un ensemble d'informations de Zola. La perception d'Etienne  permet manière de réinjecter les connaissances objectives de Zola en perceptions romanesques / subjectives.

3 -

Citez le texte pour justifier votre réponse

on peut le remarquer en regardant les verbes. "L'homme reconnu. L'homme se sentait, l'éclairait, sortait du rêve"  - Cela montre que le monde de Germinal nous est évoqué et décrit par la conscience d'Étienne

I-

Une description focalisée
3-

Le réel

1 -

Comment le réel est-il transcrit?

Le premier et dernier paragraphes sont des endroits où Zola  a retranscris  des information recueillies. Derrière la perception du personnage, il y a  le réel

2 -

Est-ce une écriture qui imite le réel?
Pourquoi le personnage ne connait pas le langage technique alors qu'il est utilisé dans le texte à travers sa conscience ?
Il y a deux narrateurs :  le personnage et celui qui sait tout. Le roman est truqué ! C'est une illusion d'optique

Déictique : les mots qui n’ont du sens que lorsqu'ils sont dans le contexte : ici là-bas, par là ....

"Le degré zéro de l'écriture" 1953
le naturalisme n'est pas une écriture qui imite le réel car c'est plutôt une écriture qui repose sur des conventions réalistes : "une convention de réel"

"L'effet de réel" Barthes : il explique que les détails dans un texte renvoient au réel non pas parce qu'ils renvoient au réel mais parce qu'ils sont inutiles comme dans le réel --> ils n'ont pas de fonction mais ont un effet de réel dans l'inutilité des choses dans la vie .

=> Ca ne sert tellement a rien c'est alors vrai

II-

Un personnage complet

1-

Un corps

1 -

Comment le roman nous présente t’-il les corps?

"Le roman est un songe" Philippe Dufours 2010

le motif chronosomatique =le roman nous présente des corps dans un temps, le personnage apparaît d'abord comme un corps plongé dans un temps

Corps : des yeux, des jambes (marcher dans le temps), des mains, il a peut être pas de pancréas . Il a des besoins, fatigue, corps qui extrait  la valeur de son énergie

Il y a un opposition entre les corps jeunes et les corps vieux.

Opposition entre l'organique et le mécanique Ce n'est pas qu'un corps mais aussi une voix

II -

Un personnage complet

2 -

la voix

1 -

Montrez que la voix complète le personnage

Le personnage a une voix car il a une perception polyphonique et la voix en tant qu'organe vocal
( discours indirect libre) et discours direct :  six répliques -

2 -

Comment le langage se traduit-il? Quelle est l’intention de Zola?

vocabulaire minimal, reprise des mots dans les répliques : les phrases sont tournées de manière interrogative ce qui traduit son pessimisme.

La syntaxe est coupée, on a des phrases adverbiales, beaucoup de ponctuation, des répétitions,....

Il s'agit de reproduire l'insignifiance d'un dialogue réel. ( ce que dit Barthes un dialogue qui ne sert à rien comme dans la réalité ) mais on apprend quand même le nom du personnage

Met en scène des hommes qui parlent peu c'est une grande force de Zola : la capacité de faire de l'insignifiance un grand art !!

II-

Un personnage complet
3-

Une fonction

1 -

Quelle est la fonction du personnage?

D’introduire le réel au lecteur

2 -

Quelles autres fonctions ou types de fonctions pourraient être cités dans l’ouvrage de Zola?

On peut concevoir deux types de fonctions : sociale par rapport aux travailleurs et narrative dans l'économie du roman

Vocabulaire du travail : les êtres se définissent par leur fonction sociale mais d'un autre côté il n'y a pas de travail, c'est la crise

Fonction sociale : travail, lié au fait que le personnage représente une personne (incarnation dans le texte de ce que serait une personne)

Balzac : des personnages types

Le personnage sert à faire quelque chose : faire apparaître la mine au lecteur = fonction narrative

III-

Du lieu au symbole

1-

La machine

1 -

Que désigne la machine?

Elle désigne le lieu et la machine à la fois.

Rapport à la machine donne le lieu qui  est aussi un milieu au sens sociologique

2 -

Comment est-elle évoquée?

A l’aide d’un vocabulaire technique.
"Terri" c'est la première fois que l'on trouve une utilisation littéraire de ce mot dans la littérature française

"Julbuteur" appareil en forme de heurtoir sur lequel buttent pour être vidés les wagons à bornes mobiles, charges de ballast de minerais de houille, on le retrouve sous forme de polyptote "culbutant" --> réseau polyphonique. 

“Berlinne” wagonnet permettant de transporter la houille

En face de ces objets techniques, on a un corps, un face à face, une lutte qui fatigue les hommes

3 -

Quelle est l’intention de Zola à ce niveau de notre étude?

le roman est en même temps une description des conditions réelles du travail. Le projet de Zola est aussi un projet de description précise des conditions des ouvriers à la mine, il veut informer les bourgeois

III-

Du lieu au symbole

2-

le monstre

1 -

Comment la découverte du Voreux est-elle transcrite?

La découverte du Voreux : la mine

Il est décrit comme un monstre à la faveur de la méditation nocturne d’Etienne. 
"le Voreux sortait du rêve" : on va nous le décrire de manière fantastique.

"Qui solubilisait..." : Le rythme des phrases est travaillé, propositions longues, alexandrins blancs et hexamètre blanc  : c'est un alexandrin  auquel succèdent deux verbes à l'imparfait qui font trois pieds, ensuite un rythme ternaire

La précision du vocabulaire n'empêche pas la comparaison fantastique du Voreux à un monstre "il s'échappait.......monstre" ==> métaphore fantastique "la respiration grosse et longue d'un échappement de vapeur, qu'on ne voyait point" --> la métaphore filée  : entre haleine, gorge, monstre

Gradation "rien .... Croûte"
Cette superposition de la description technique et de la rêverie fantastique est permise grâce à l'usage d'une syllepse sémantique : "la pompe d'épuisement"

III-

Du lieu au symbole

3-

le héros

1 -

Comment le héros apparaît-il?

Le héros a une figure christique de sauveur : l'homme (référence à Jésus "le fils de l'homme")  : renvoyer l’explication  à d'Ombeline et Julia

Les mains saignantes : Jésus à travers ses mains : il exemplifie  : deux propriétés de Jésus :

- les mains sur la croix et

-  la pauvreté

Héros de la pauvreté mais aussi personnage violent « ayant giflé son chef« . Zola fait de lui un personnage christique mais aussi un héros socialiste

 

 

 

 

 
   

Date de dernière mise à jour : 17/05/2019

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